SShiva_fr
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Traduction du 3eme lien :
https://www.satanslibrary.org/666BlackSun/Real_Death_Camps.htm
Bonjour Ara, je ne te cache pas que cet article fut dur à traduire (à cause des atrocités).
Si l'on peut peut être partager ce type de récits éprouvants, je suis preneuse..
Comme l'article est très long, je vais le publier en plusieurs post
1er
Les vrais camps de la mort et l'Holocauste
L'holoco$t « six millions » sert en outre de distraction et de couverture pour les VRAIS crimes contre l'humanité commis sous le communisme juif. Presque tout le monde a entendu parler d'« Auschwitz », mais combien ont entendu parler des atrocités commises contre les non-juifs à Kolyma, le camp de travail d'esclaves le plus notoire du Goulag, dirigé et exploité par des Juifs dans l'extrême nord-est de la Sibérie ? Ou le génocide systématique du peuple ukrainien perpétré par le communisme juif ? L'Holodomor [Famine Ukrainienne/Génocide de 1932-33] perpétré par l'URSS contrôlée par les Juifs.
Les systèmes de goulag de l'ex-URSS étaient les véritables camps de la mort. Tout ce que les Juifs sont et font, ils en blâment habilement les non-juifs. Si l'on fait des recherches suffisamment approfondies, on découvrira que les camps de travail d'esclaves/de la mort sont en fait une idée juive et une invention juive, et existaient bien avant les prétendus camps nazis. Cela agit comme une distraction et détourne l'attention de la population des vrais crimes. Pendant toutes les années qui ont suivi la fin de la Seconde Guerre mondiale, nous avons toujours été bombardés régulièrement, directement de l'Hollywood juif, film après film, documentaires et autres médias illustrant le prétendu « holocauste » des Juifs aux mains des de l'Allemagne nazie. Cela a agi comme une distraction majeure parmi beaucoup d'autres choses au fil des ans et a détourné l'attention des vrais camps de la mort, qui étaient tous dirigés et exploités par des Juifs, sous le communisme juif. Bien avant même qu'Adolf Hitler n'arrive au pouvoir, ces camps de la mort fonctionnaient à plein régime par le travail d'esclaves. De plus, TOUT ce dont les Juifs accusent les nazis, ils l'ont mis eux-même en œuvre dans les années 1920. Si on fait les recherches nécessaires, on découvre la vérité.
Les non-juifs utilisés en esclaves étaient si serrés dans les wagons à bestiaux que peu pouvaient même se déplacer. Cela a également été fait aux esclaves noirs africains sur les navires négriers qui étaient tous détenus et exploités par des Juifs. Pour lire le compte-rendu complet, vous pouvez accéder au lien ci-dessous. Bien que nous soyons très opposés à l'Islam, voici un article détaillé et excellent :
Qui a amené les esclaves en Amérique ? Par Walter White Jr., 1968
C'est aussi un fait aujourd'hui que l'on constate facilement avec l'agriculture industrielle. Les Juifs possèdent les grandes entreprises qui se livrent à cet abus des animaux le plus odieux. Ils sont tous parqués dans de minuscules cages et caisses, vivant dans leur propre saleté et déchets, incapables de se retourner ou d'à peine bouger, et si vous faites des recherches, vous verrez le modèle décrit ici. Tout cela est un concept juif, parquer des êtres vivants dans des espaces extrêmement petits afin d'être utilisés pour les profits et l'exploitation juive de la manière la plus brutale.
Tout cela a été intelligemment imputé aux nazis. Alors que les médias continuent sur leur lancée comme ils le font également pour promouvoir leur mensonge du christianisme, peu de gens se sont vraiment demandés si cela était vrai ou non. Les Juifs n'avaient pas anticipé ni prévu l'effondrement de l'URSS et du Bloc communiste de l'Est. De nombreux récits des esclaves des camps de la mort par le travail [peu d'entre eux ont survécu pour le dire] sont maintenant révélés au public, mais il faut faire les recherches nécessaires. Des noms tels que "Auschwitz" "Treblinka" "Sobibor" "Dachau" sont communément connus. En plus de la pléthore de films provenant de l'Hollywood juif, les médias contrôlés par les juifs publient et font la promotion sans cesse de livres sur le sujet.
Combien de personnes ont entendu parler de Kolyma ou de Serpantinka ? Il y en a des milliers d'autres. La liste de ces camps de travaux forcés gérés par des Juifs est prolifique et interminable. Le lien ci-dessous n'est qu'un échantillon :
Liste des camps de goulag [Wikipédia]
Il y en a des milliers en Chine, beaucoup en Corée du Nord et dans les anciens pays communistes ; tous dirigés par des Juifs avec des lois juives pour les non-juifs. Les Juifs sont de toutes races et ethnies. Ils peuvent être identifiés par leur ADN, qui est un autre domaine que les gens doivent rechercher et connaître.
Depuis la révélation des atrocités commises sous le communisme juif, les Juifs font maintenant des heures supplémentaires, essayant de comparer le juif Josef Staline à Adolf Hitler. En plus de ces ordures juives, ils ont créé des sites Web et d'autres essayent de se dissocier en prétendant que Staline, Beria et d'autres qui dirigeaient ce système de meurtre brutal n'étaient pas juifs, allant même jusqu'à prétendre que Vladimir Lénine n'était « qu'en parti Juif." Peu de gens se donnent la peine de faire les recherches nécessaires et cela peut être difficile, mais la vérité est que... Staline, Beria et Lénine étaient tous juifs.
Le vrai nom de famille de Josef Staline était Dzhugashvili, signifiant en géorgien « Fils d'un juif ». En outre, le survivant des camps de la mort et auteur Alexandre Soljenitsyne a écrit à un correspondant où il émet une critique mineure sur Staline et où il mentionne également la judéité de Staline. Sa lettre a été interceptée et pour cela, il a été rapidement arrêté. La judéité de Staline était de notoriété publique, mais ne devait pas être mentionnée. Lavrenty Beria, meurtrier de masse et monstre était un juif karaim. Il était pourtant très facile et même bienveillant envers les Juifs. [Référence : Commissaire : La vie et la mort de Lavrenty Pavlovich Beria par Thaddeus Wittlin © 1972].
Sans oublier que le nom de famille "Beria" est un dérivé du "Bar" juif, pas différent de "Barry", Berry", tous des noms juifs. Parce qu'Adolf Hitler a alerté les non-juifs de la menace extrême des Juifs et de leur communisme, l'Allemagne nazie a été attaquée sans relâche, comme l'est notre vrai Dieu créateur Satan. L'Allemagne nazie a été injustement accusée d'"exterminer les Juifs et bien d'autres", ce qui est un mensonge total, et cela peut être prouvé. Le soi-disant "négationnisme" est illégal dans de nombreux pays à travers le monde. Après la guerre, l'Allemagne a payé des milliards et des milliards de dollars, a été couverte de honte, de calomnie et bien pire. Les Juifs ont utilisé leur holocauste bidon pour exploiter et contrôler et surtout, pour instaurer le communisme, à la fois directement et indirectement à travers le monde.
Les victimes des camps d'extermination communistes contrôlés par les Juifs n'ont rien reçu. Aucune réparation, aucune aide, et les familles survivantes n'ont rien reçu. Ce qui est encore pire, c'est le fait qu'AUCUN des criminels juifs n'a jamais été traduit en justice.Alors que les médias contrôlés par les juifs ne cessent de raconter des histoires de "criminels de guerre nazis" traduits en justice, aucune justice n'a été rendue aux victimes du goulag communiste qui réprésentent des millions de personnes à travers le monde. De plus, le public ignorant se concentre sur les nazis ceci et les nazis cela et ne connaît même pas les vraies victimes. Ce genre d'endoctrinement juif est également imposé dans les écoles où le communisme est enseigné comme quelque chose de bon et de favorable par les professeurs d'université juifs et leurs comparses non-juifs. Le communisme, comme le christianisme, est un autre programme de fraternité juive qui prêche l'égalité, un niveau de vie décent et des avantages pour les travailleurs... TOUT CA NE SONT QUE DES MENSONGES ! Les deux sont des programmes d'esclavage et de mort. Les deux programmes, comme tout ce qui est juif, créent le problème puis proposent la solution.
L'article suivant révèle les atrocités odieuses commises contre les non-juifs aux mains des Juifs. Bien sûr, les Juifs ont également eu l'habitude de persécuter les leurs. Les Juifs qui étaient en petit nombre dans certains des camps sont ceux qui crient le plus fort et eux seuls sont retenus par la presse juive pour tromper à nouveau les gens, en leur faisant croire que le communisme n'est pas juif, ce qui est un autre mensonge total. Le modèle du communisme juif est dans la Bible. Les Juifs ont écrit la Bible.
Un autre exemple noté est que tout ce que le dieu juif « Yaweh/Jehova » de la Bible est et fait est imputé à Satan. Par exemple, les attributs "haineux de l'homme", "meurtrier et menteur depuis le commencement" [il suffit de regarder l'Ancien Testament pour voir le génocide sans fin et le meurtre de masse des non-juifs aux mains de ce soi-disant "dieu"]. Ils prétendent que le Diable est totalement matériel, pourtant il n'y a rien du tout de spirituel dans la Bible ou le christianisme, juste une histoire fictive écrite par les Juifs, le message subliminal de la domination juive sur les non-juifs et la vie de ce nazaréen fictif. Il existe une infinité de contradictions et de versets s'opposant dans la Bible. Ils ont pour but de garantir que la Bible s'adaptera à toutes les époques et à toutes les situations, afin de perpétuer le programme du christianisme. Les Juifs apprennent à argumenter très tôt et poursuivent cet apprentissage dans une Yeshiva.
À moins que le monde des non-juifs ne se réveille, maintenant que nous avons une petite chance avec Internet et les communications de masse, notre monde retombera dans l'âge des ténèbres et nous serons à nouveau soumis à un esclavage total, servant les Juifs sous les conditions les plus brutales. conditions inimaginables.
"Comme un médecin de camp l'a dit à une victime en 1949 : vous n'êtes pas amené ici pour vivre mais pour souffrir et mourir... Si vous vivez... cela signifie que vous êtes coupable de l'une des deux choses suivantes : soit vous avez travaillé moins que ce qui vous était assigné ou alors vous avez mangé plus que ce qui vous était dû." Extrait de "East of the Sun, The Epic Conquest and Tragic History of Siberia" de Benson Bobrick © 1992
Les vrais camps de la mort et l'Holocauste
Aujourd'hui, le monde est sous l'emprise d'une nouvelle religion : l'Holocaustanité.
Ce programme est conçu pour donner un sens à leur agenda et exerce un charme puissant sur l'esprit des non-juifs. Il s'agit d'une puissante propagande en faveur de l'agenda juif. Ses prémisses sont le fondement de nombreuses lois spéciales - rendant les juifs inattaquables, et un outil pour faire taire tout débat et écraser toute personne qui s'oppose à leur agenda, pour délégitimer toute information qui les expose, ainsi que ceux qui le font, et qui leur donne un précédent moral pour leur capital État juif en Israël, et le système mondial plus vaste qu'ils souhaitent diriger depuis Israël. C'est aussi un puissant booster pour leur idéologie du marxisme culturel [le vrai nom du PC], qui est conçu pour détruire toute institution saine, toute psychologie organique, ou institution matérielle qui, par leur nature, entrave la destruction juive et l'assimilation des nations non-juives dans la griffe de l'ordre mondial juif.
Le Juif a rendu illégal cette recherche de la vérité dans de nombreuses régions afin de dissimuler ce sujet [la vérité ne craint pas l'enquête]. Nous regardons ce qui se passait réellement et mettons en lumière cette situation. La vérité est que le véritable holocauste s'est produit dans l'Union soviétique contrôlée et créée par les Juifs. Parmi les nombreux camps de la mort où des millions de personnes ont péri, nous examinerons Kolyma, l'un des nombreux camps dont l'héritage témoigne de la nature de la bête juive. Plus tard, nous verrons, venant directement de la bouche des Juifs, la réalité humaine des camps allemands qui, comme cela a été prouvé même devant un tribunal, n'étaient pas des camps de la mort mais des centres de production industrielle gérés humainement, avec même des piscines de taille olympique et des terrains de sport avec du personnel et des observateurs de la Croix-Rouge.
Kolyma : les camps de la mort de l'Arctique
"Les prisonniers arrivaient dans les immenses camps de transit de la côte Pacifique, à la sortie de Vladivostok, puis à Nakhodka, et à Vanino, dans chacun desquels cent mille prisonniers s'entassaient dans l'interminable réseau de baraquements qui s'étendait à perte de vue. Là, ils attendaient les navires-prisons de la course de la Kolyma...."
« Andrei Sakharov les a appelés les « navires de la mort de la mer d'Okhotsk »
"Ceux qui sont arrivés étaient déjà des restes d'êtres humains écrasés et humiliés, affamés et mal habillés. Ils auraient normalement dû passer environ trois mois en prison dans des conditions et un traitement jugés adéquats pour eux. Le voyage en train - toujours l'une des pires expériences des victimes, avec ses wagons fétides, son approvisionnement en eau insuffisant, son manque de nourriture et de lumière, ses gardes brutaux - était, bien sûr, le plus long subi par toutes les victimes du Goulag : 28 jours, 33 jours, 35 jours, 47 jours sont des durées typiques rapportées."
[photo]
Lettons dans des wagons à bestiaux envoyés dans les camps de concentration du Goulag dans l'URSS dirigée par les Juifs.
Le jour de l'embarquement arrive à Vanino :
"Lorsque nous sommes sortis sur l'immense terrain à l'extérieur du camp, j'ai assisté à un spectacle qui aurait fait honneur à une production de Cecil B. DeMille. A perte de vue, il y avait des colonnes de prisonniers marchant dans une direction ou une autre comme des armées sur un champ de bataille. Un énorme détachement d'agents de sécurité, de soldats et de préposés aux transmissions, équipés de téléphones de campagne et de motocyclettes, restait en contact avec le quartier général, organisant le bon déroulement de ces rivières humaines.
J'ai demandé à quoi était censée ressembler cette opération géante. La réponse fut qu'à chaque départ d'un convoi, l'administration remplaçait les occupants de chaque cage du camp de sorte que chacun devait être emmené avec son paquet de chiffons sur l'épaule vers le grand champ et de là dirigé vers sa nouvelle destination. Seuls 5 000 d'entre eux étaient censés partir, mais 100 000 faisaient partie de la scène qui se déroulait devant nous. On pouvait voir des colonnes interminables de femmes, d'infirmes, de vieillards et même d'adolescents, tous en formation militaire, cinq par rang, traversant l'immense champ, et dirigés par des sifflets ou des drapeaux. Il a fallu plus de trois heures avant que l'opération ne soit terminée et que le groupe auquel j'appartenais soit autorisé à partir pour le point d'embarquement.
Je me souviens du port de Vanino
où se trouvait le bateau à vapeur à l'air sinistre,
Comment nous avons grimpé sur la passerelle à bord
Jusqu'à la cale froide et lugubre
« Il nous a fallu un certain temps pour habituer nos yeux à la faible lumière du pont inférieur terne. Alors que je commençais à voir où nous étions, mes yeux virent une scène que ni Goya ni Gustave Dore n'auraient pu imaginer. Dans cette immense cale caverneuse et trouble, s'entassaient plus de 2 000 femmes. Du sol au plafond, comme dans une gigantesque ferme avicole, elles étaient enfermés dans des cages ouvertes, cinq d'entre elles dans un espace de neuf pieds carrés. Le sol était couvert de plus de femmes. A cause de la chaleur et de l'humidité, la plupart d'entre elles n'étaient que peu vêtues ; Certaines étaient même complètement nues. Le manque de sanitaires et la chaleur incessante avaient couvert leurs corps d'horribles tâches rouges, de furoncles et de cloques. La majorité d'entre elles souffraient d'une forme ou d'une autre de maladie de peau, en plus de maux d'estomac et de dysenterie.
Au bas de l'escalier que nous venions de descendre se trouvait un tonneau géant, sur les bords duquel, à la vue des soldats qui montaient la garde au-dessus, des femmes étaient perchées comme des oiseaux, et dans les positions les plus incroyables. Aucune honte, aucune pudeur, elles étaient accroupies là pour uriner ou vider leurs intestins. On avait l'impression qu'il s'agissait de créatures mi-humaines, mi-oiseaux qui appartenaient à un autre monde et à un autre âge."
De nombreux prisonniers n'ont pas survécu à la traversée [qui durait généralement une semaine entière], ils sont morts de violence, de faim et de maladies après avoir été entassés littéralement, dans de nombreux cas, côte à côte, comme des biens meubles dans des cales sales pendant des semaines. La scène était identique à celle des navires négriers appartenant à des Juifs et remplis de milliers d'esclaves africains, littéralement dos à dos, au cours des siècles précédents. Cette fois-ci, il s'agissait de nouveaux esclaves goyim (non-juifs) destinés à servir de main-d'œuvre pour l'État communiste juif.
Les champs d'exécution de Kolyma
« L'objectif principal était de tuer les prisonniers, comme l'a dit ouvertement un commandant. »
Ma note* la principale méthode pour assassiner les prisonniers par millions était de leur attribuer des quotas de production impossibles, puis de baisser les rations déjà de famine lorsqu'ils ne pouvaient pas les satisfaire en guise de punition, s'assurant qu'ils mourraient d'un mélange d'épuisement et de maladies. Ceux qui vivaient mais étaient trop affaiblis, leurs quotas tombèrent de faim et d'épuisement, et ils furent simplement exécutés en masse.
Ma note* la principale méthode pour assassiner les prisonniers par millions était de leur attribuer des quotas de production impossibles, puis de baisser les rations déjà de famine lorsqu'ils ne pouvaient pas les satisfaire en guise de punition, s'assurant qu'ils mourraient d'un mélange d'épuisement et de maladies. Ceux qui vivaient mais étaient trop affaiblis, tombèrent de faim et d'épuisement, et ils furent simplement exécutés en masse.
Cela a permis d'extraire l'or tout en tuant les prisonniers. Le sadisme de cette méthode était que la victime travaillait aussi dur que possible pour rester en vie dans un faux espoir, assurant ainsi une plus grande quantité de production d'or. Dans le cadre de cela, ils recevaient les vêtements les plus mauvais et les moins chers, qui ne valaient rien par un froid de 50 à 70 degrés sous zéro, et n'avaient que des chiffons sales et pleins de poux pour envelopper leurs pieds et leurs corps gelés. On les laissait vivre empilés les uns sur les autres comme des animaux d'élevage industriel dans des cages, dans des huttes bon marché de mauvaise qualité, sans isolation ni chauffage adéquat, dans la région la plus froide du monde.
Cela permettait d'extraire l'or tout en tuant les prisonniers. Le sadisme de cette méthode consistait à faire travailler la victime aussi dur que possible pour rester en vie dans un faux espoir, assurant ainsi une plus grande quantité de production d'or. Dans le cadre de cette méthode, ils recevaient les vêtements les plus mauvais et les moins chers, qui ne valaient rien par un froid de 50 à 70 degrés sous zéro, et n'avaient que des chiffons sales et pleins de poux pour envelopper leurs pieds et leurs corps gelés. On les laissait vivre empilés les uns sur les autres comme des animaux d'élevage industriel dans des cages, dans des huttes bon marché de mauvaise qualité, sans isolation ni chauffage adéquat, dans la région la plus froide du monde.
Plus de trois millions de personnes ont été systématiquement assassinées par le régime communiste juif dans la seule Kolyma, qui n'était qu'un camp parmi tant d'autres dans toute la République soviétique. Chacun des récits n'est pas seulement celui de l'individu qui le donne, mais l'expérience collective des millions de personnes condamnées dans ces camps.
La réalité des camps :
« Le climat à l'intérieur, où ça peut descendre jusqu'à -70 °C, est en effet le plus froid de l'hémisphère nord : le véritable pôle du froid est à Oymyakon, juste au-dessus du Gydan. »
« À l'été 1932, l'opération fut lancée. L'assaut de la collectivisation contre la paysannerie avait produit une vaste vague d'arrestations. Sur les 10 millions de "Koulaks" [ma note est plus proche de 15 millions] éliminés, la moitié est probablement morte dans la famine et par exécution, et sur le reste, certainement pas moins de trois millions et demi se sont déversés dans les camps de prisonniers. La Kolyma a eu sa part."
"Les baraquements ou cabanes dans lesquels les prisonniers passaient leur temps libre n'étaient pas non plus un grand refuge. Désespérément surpeuplées, avec des couchettes de trois ou quatre places, elles étaient souvent très mal isolées (les baraques des gardes avaient de la sciure entre deux couches de planches). Et, mal construites comme ils étaient, les fissures et les trous étaient généralement remplis de mousse, de chiffons ou de paille. De plus, presque tous les mineurs étaient affligés d'incontinence urinaire. Ils essayaient, lorsqu'ils étaient envoyés dans d'autres camps, d'obtenir les couchettes inférieures, afin d'épargner leurs collègues. Là où ils étaient tous ensemble, ce n'était pas possible."
"Les poêles aussi étaient tout à fait inadaptés. C'était une plainte constante que" les casernes n'étaient pas assez chauffées, les vêtements ne se séchaient pas. À l'automne, ils gardaient les gens trempés jusqu'aux os, dehors sous la pluie et dans le froid pour tenir des quotas que de telles épaves sans espoir ne pourraient jamais remplir... Les prisonniers n'étaient pas habillés pour le climat de la région de Kolyma.
On leur donnait des vêtements de troisième main, de simples chiffons, et souvent ils n'avaient qu'une enveloppe de tissu aux pieds. Leurs vestes déchirées ne les protégeaient pas du froid glacial, et les gens gelaient en masse.
Nous avons noté les règlements d'un vice révélateur, qui, à partir de 1937, interdisaient pratiquement les vêtements adéquats au climat."
"Une douzaine de poux dans les sous-vêtements d'une personne ne comptent pas. Les poux commencent à attirer l'attention des prisonniers et des médecins quand on peut les secouer d'un mouvement de la main, quand un pull-over commence à se déplacer tout seul. Est-il possible qu'un homme, quel qu'il soit, ne souhaite pas échapper à cette torture lorsqu'il ne dort pas et qu'il gratte son corps sale, rongé par la vermine, jusqu'à ce que le sang coule ?"
"Quand il était devenu clairement impossible de s'épouiller, les femmes renonçaient à essayer, et seulement lorsque les démangeaisons devenaient intolérables, elles passaient leurs mains sous leurs chemisiers, " récupéraient une poignée de vermine et les jetaient ".
Un prisonnier écrit :
En mars 1933, 600 prisonniers ont été envoyés à la Mine d'Or n°1 de l'Administration des Mines du Nord… il y avait deux autres administrations du même genre, celles de l'Ouest et du Sud. Nous partons à pied pour ce long voyage. Nous avons dû parcourir 370 miles (env 575 km) dans la neige profonde et par temps terriblement froid jusqu'à la sopka de Khatenakh.
Nous devions faire 16 miles par jour (env 25 km), après quoi nous avons passé la nuit dans des tentes installées sur la neige. Après avoir mangé nos maigres rations du matin, nous repartîmes. Ceux qui n'ont pas pu survivre à cette longue marche épuisante et sont morts en chemin, se sont retrouvés avec la neige pour seul tombeau. Nos gardiens nous ont interdit de leur donner un enterrement convenable. Ceux qui traînaient étaient fusillés par les gardes, sans arrêter la colonne.
« J'étais convaincu que les soldats du MVD [gardiens du camp] devaient être choisis pour leur sadisme. Ils avaient les mains complètement libres sur nous et faisaient n'importe quoi, surtout ivres, pour faire souffrir les prisonniers. Par exemple, en allant à ou revenant du travail dans les colonnes habituelles de cinq, ils nous arrêtaient parfois au milieu de la route, lâchaient leurs chiens et riaient à tue-tête tandis que les chiens enfonçaient leurs crocs dans les jambes des prisonniers. absolument libres de faire n'importe quoi, même de nous tuer - et d'obtenir une avance pour cela. Je les ai vus appeler un homme pour qu'il fasse du feu pour eux ou leur apporte une chope d'eau lorsqu'ils étaient de garde, puis tuer le malheureux sous prétexte que le prisonnier avait franchi la ligne d'interdiction d'accès."
Les conditions de travail :
Les bottes étaient toujours mouillées, jamais tout à fait sèches – les rhumatismes étaient garantis. Ensuite, l'air de la fosse, où il n'y avait aucune ventilation, était rempli deux fois par jour des vapeurs toxiques de l'ammonal dynamité. Trente minutes seulement étaient allouées pour l'évacuation des fumées par l'entrée de la mine, après quoi les ouvriers étaient reconduits dans les fosses pour continuer leur travail. Beaucoup d'entre eux succombèrent à l'atmosphère empoisonnée et toussèrent violemment, crachant du sang et souvent des fragments de poumon. Après un court laps de temps, ceux-ci étaient généralement envoyés soit aux escouades faibles pour le boisage, soit à leurs tombes. La mortalité était particulièrement élevée parmi les hommes qui charriaient le sable humide de la caserne après le lavage. De l'atmosphère humide et moite de la chaufferie, les pousseurs de brouette transpirants se glissaient par l'ouverture, qui était recouvert d'une vieille couverture, poussant leurs brouettes dans le gel perçant de moins 50 degré. La durée de ce travail était, au maximum, d'un mois, après quoi une pneumonie ou une méningite expédiait le travailleur dans l'autre monde.
https://www.satanslibrary.org/666BlackSun/Real_Death_Camps.htm
Bonjour Ara, je ne te cache pas que cet article fut dur à traduire (à cause des atrocités).
Si l'on peut peut être partager ce type de récits éprouvants, je suis preneuse..
Comme l'article est très long, je vais le publier en plusieurs post
1er
Les vrais camps de la mort et l'Holocauste
L'holoco$t « six millions » sert en outre de distraction et de couverture pour les VRAIS crimes contre l'humanité commis sous le communisme juif. Presque tout le monde a entendu parler d'« Auschwitz », mais combien ont entendu parler des atrocités commises contre les non-juifs à Kolyma, le camp de travail d'esclaves le plus notoire du Goulag, dirigé et exploité par des Juifs dans l'extrême nord-est de la Sibérie ? Ou le génocide systématique du peuple ukrainien perpétré par le communisme juif ? L'Holodomor [Famine Ukrainienne/Génocide de 1932-33] perpétré par l'URSS contrôlée par les Juifs.
Les systèmes de goulag de l'ex-URSS étaient les véritables camps de la mort. Tout ce que les Juifs sont et font, ils en blâment habilement les non-juifs. Si l'on fait des recherches suffisamment approfondies, on découvrira que les camps de travail d'esclaves/de la mort sont en fait une idée juive et une invention juive, et existaient bien avant les prétendus camps nazis. Cela agit comme une distraction et détourne l'attention de la population des vrais crimes. Pendant toutes les années qui ont suivi la fin de la Seconde Guerre mondiale, nous avons toujours été bombardés régulièrement, directement de l'Hollywood juif, film après film, documentaires et autres médias illustrant le prétendu « holocauste » des Juifs aux mains des de l'Allemagne nazie. Cela a agi comme une distraction majeure parmi beaucoup d'autres choses au fil des ans et a détourné l'attention des vrais camps de la mort, qui étaient tous dirigés et exploités par des Juifs, sous le communisme juif. Bien avant même qu'Adolf Hitler n'arrive au pouvoir, ces camps de la mort fonctionnaient à plein régime par le travail d'esclaves. De plus, TOUT ce dont les Juifs accusent les nazis, ils l'ont mis eux-même en œuvre dans les années 1920. Si on fait les recherches nécessaires, on découvre la vérité.
Les non-juifs utilisés en esclaves étaient si serrés dans les wagons à bestiaux que peu pouvaient même se déplacer. Cela a également été fait aux esclaves noirs africains sur les navires négriers qui étaient tous détenus et exploités par des Juifs. Pour lire le compte-rendu complet, vous pouvez accéder au lien ci-dessous. Bien que nous soyons très opposés à l'Islam, voici un article détaillé et excellent :
Qui a amené les esclaves en Amérique ? Par Walter White Jr., 1968
C'est aussi un fait aujourd'hui que l'on constate facilement avec l'agriculture industrielle. Les Juifs possèdent les grandes entreprises qui se livrent à cet abus des animaux le plus odieux. Ils sont tous parqués dans de minuscules cages et caisses, vivant dans leur propre saleté et déchets, incapables de se retourner ou d'à peine bouger, et si vous faites des recherches, vous verrez le modèle décrit ici. Tout cela est un concept juif, parquer des êtres vivants dans des espaces extrêmement petits afin d'être utilisés pour les profits et l'exploitation juive de la manière la plus brutale.
Tout cela a été intelligemment imputé aux nazis. Alors que les médias continuent sur leur lancée comme ils le font également pour promouvoir leur mensonge du christianisme, peu de gens se sont vraiment demandés si cela était vrai ou non. Les Juifs n'avaient pas anticipé ni prévu l'effondrement de l'URSS et du Bloc communiste de l'Est. De nombreux récits des esclaves des camps de la mort par le travail [peu d'entre eux ont survécu pour le dire] sont maintenant révélés au public, mais il faut faire les recherches nécessaires. Des noms tels que "Auschwitz" "Treblinka" "Sobibor" "Dachau" sont communément connus. En plus de la pléthore de films provenant de l'Hollywood juif, les médias contrôlés par les juifs publient et font la promotion sans cesse de livres sur le sujet.
Combien de personnes ont entendu parler de Kolyma ou de Serpantinka ? Il y en a des milliers d'autres. La liste de ces camps de travaux forcés gérés par des Juifs est prolifique et interminable. Le lien ci-dessous n'est qu'un échantillon :
Liste des camps de goulag [Wikipédia]
Il y en a des milliers en Chine, beaucoup en Corée du Nord et dans les anciens pays communistes ; tous dirigés par des Juifs avec des lois juives pour les non-juifs. Les Juifs sont de toutes races et ethnies. Ils peuvent être identifiés par leur ADN, qui est un autre domaine que les gens doivent rechercher et connaître.
Depuis la révélation des atrocités commises sous le communisme juif, les Juifs font maintenant des heures supplémentaires, essayant de comparer le juif Josef Staline à Adolf Hitler. En plus de ces ordures juives, ils ont créé des sites Web et d'autres essayent de se dissocier en prétendant que Staline, Beria et d'autres qui dirigeaient ce système de meurtre brutal n'étaient pas juifs, allant même jusqu'à prétendre que Vladimir Lénine n'était « qu'en parti Juif." Peu de gens se donnent la peine de faire les recherches nécessaires et cela peut être difficile, mais la vérité est que... Staline, Beria et Lénine étaient tous juifs.
Le vrai nom de famille de Josef Staline était Dzhugashvili, signifiant en géorgien « Fils d'un juif ». En outre, le survivant des camps de la mort et auteur Alexandre Soljenitsyne a écrit à un correspondant où il émet une critique mineure sur Staline et où il mentionne également la judéité de Staline. Sa lettre a été interceptée et pour cela, il a été rapidement arrêté. La judéité de Staline était de notoriété publique, mais ne devait pas être mentionnée. Lavrenty Beria, meurtrier de masse et monstre était un juif karaim. Il était pourtant très facile et même bienveillant envers les Juifs. [Référence : Commissaire : La vie et la mort de Lavrenty Pavlovich Beria par Thaddeus Wittlin © 1972].
Sans oublier que le nom de famille "Beria" est un dérivé du "Bar" juif, pas différent de "Barry", Berry", tous des noms juifs. Parce qu'Adolf Hitler a alerté les non-juifs de la menace extrême des Juifs et de leur communisme, l'Allemagne nazie a été attaquée sans relâche, comme l'est notre vrai Dieu créateur Satan. L'Allemagne nazie a été injustement accusée d'"exterminer les Juifs et bien d'autres", ce qui est un mensonge total, et cela peut être prouvé. Le soi-disant "négationnisme" est illégal dans de nombreux pays à travers le monde. Après la guerre, l'Allemagne a payé des milliards et des milliards de dollars, a été couverte de honte, de calomnie et bien pire. Les Juifs ont utilisé leur holocauste bidon pour exploiter et contrôler et surtout, pour instaurer le communisme, à la fois directement et indirectement à travers le monde.
Les victimes des camps d'extermination communistes contrôlés par les Juifs n'ont rien reçu. Aucune réparation, aucune aide, et les familles survivantes n'ont rien reçu. Ce qui est encore pire, c'est le fait qu'AUCUN des criminels juifs n'a jamais été traduit en justice.Alors que les médias contrôlés par les juifs ne cessent de raconter des histoires de "criminels de guerre nazis" traduits en justice, aucune justice n'a été rendue aux victimes du goulag communiste qui réprésentent des millions de personnes à travers le monde. De plus, le public ignorant se concentre sur les nazis ceci et les nazis cela et ne connaît même pas les vraies victimes. Ce genre d'endoctrinement juif est également imposé dans les écoles où le communisme est enseigné comme quelque chose de bon et de favorable par les professeurs d'université juifs et leurs comparses non-juifs. Le communisme, comme le christianisme, est un autre programme de fraternité juive qui prêche l'égalité, un niveau de vie décent et des avantages pour les travailleurs... TOUT CA NE SONT QUE DES MENSONGES ! Les deux sont des programmes d'esclavage et de mort. Les deux programmes, comme tout ce qui est juif, créent le problème puis proposent la solution.
L'article suivant révèle les atrocités odieuses commises contre les non-juifs aux mains des Juifs. Bien sûr, les Juifs ont également eu l'habitude de persécuter les leurs. Les Juifs qui étaient en petit nombre dans certains des camps sont ceux qui crient le plus fort et eux seuls sont retenus par la presse juive pour tromper à nouveau les gens, en leur faisant croire que le communisme n'est pas juif, ce qui est un autre mensonge total. Le modèle du communisme juif est dans la Bible. Les Juifs ont écrit la Bible.
Un autre exemple noté est que tout ce que le dieu juif « Yaweh/Jehova » de la Bible est et fait est imputé à Satan. Par exemple, les attributs "haineux de l'homme", "meurtrier et menteur depuis le commencement" [il suffit de regarder l'Ancien Testament pour voir le génocide sans fin et le meurtre de masse des non-juifs aux mains de ce soi-disant "dieu"]. Ils prétendent que le Diable est totalement matériel, pourtant il n'y a rien du tout de spirituel dans la Bible ou le christianisme, juste une histoire fictive écrite par les Juifs, le message subliminal de la domination juive sur les non-juifs et la vie de ce nazaréen fictif. Il existe une infinité de contradictions et de versets s'opposant dans la Bible. Ils ont pour but de garantir que la Bible s'adaptera à toutes les époques et à toutes les situations, afin de perpétuer le programme du christianisme. Les Juifs apprennent à argumenter très tôt et poursuivent cet apprentissage dans une Yeshiva.
À moins que le monde des non-juifs ne se réveille, maintenant que nous avons une petite chance avec Internet et les communications de masse, notre monde retombera dans l'âge des ténèbres et nous serons à nouveau soumis à un esclavage total, servant les Juifs sous les conditions les plus brutales. conditions inimaginables.
"Comme un médecin de camp l'a dit à une victime en 1949 : vous n'êtes pas amené ici pour vivre mais pour souffrir et mourir... Si vous vivez... cela signifie que vous êtes coupable de l'une des deux choses suivantes : soit vous avez travaillé moins que ce qui vous était assigné ou alors vous avez mangé plus que ce qui vous était dû." Extrait de "East of the Sun, The Epic Conquest and Tragic History of Siberia" de Benson Bobrick © 1992
Les vrais camps de la mort et l'Holocauste
Aujourd'hui, le monde est sous l'emprise d'une nouvelle religion : l'Holocaustanité.
Ce programme est conçu pour donner un sens à leur agenda et exerce un charme puissant sur l'esprit des non-juifs. Il s'agit d'une puissante propagande en faveur de l'agenda juif. Ses prémisses sont le fondement de nombreuses lois spéciales - rendant les juifs inattaquables, et un outil pour faire taire tout débat et écraser toute personne qui s'oppose à leur agenda, pour délégitimer toute information qui les expose, ainsi que ceux qui le font, et qui leur donne un précédent moral pour leur capital État juif en Israël, et le système mondial plus vaste qu'ils souhaitent diriger depuis Israël. C'est aussi un puissant booster pour leur idéologie du marxisme culturel [le vrai nom du PC], qui est conçu pour détruire toute institution saine, toute psychologie organique, ou institution matérielle qui, par leur nature, entrave la destruction juive et l'assimilation des nations non-juives dans la griffe de l'ordre mondial juif.
Le Juif a rendu illégal cette recherche de la vérité dans de nombreuses régions afin de dissimuler ce sujet [la vérité ne craint pas l'enquête]. Nous regardons ce qui se passait réellement et mettons en lumière cette situation. La vérité est que le véritable holocauste s'est produit dans l'Union soviétique contrôlée et créée par les Juifs. Parmi les nombreux camps de la mort où des millions de personnes ont péri, nous examinerons Kolyma, l'un des nombreux camps dont l'héritage témoigne de la nature de la bête juive. Plus tard, nous verrons, venant directement de la bouche des Juifs, la réalité humaine des camps allemands qui, comme cela a été prouvé même devant un tribunal, n'étaient pas des camps de la mort mais des centres de production industrielle gérés humainement, avec même des piscines de taille olympique et des terrains de sport avec du personnel et des observateurs de la Croix-Rouge.
Kolyma : les camps de la mort de l'Arctique
"Les prisonniers arrivaient dans les immenses camps de transit de la côte Pacifique, à la sortie de Vladivostok, puis à Nakhodka, et à Vanino, dans chacun desquels cent mille prisonniers s'entassaient dans l'interminable réseau de baraquements qui s'étendait à perte de vue. Là, ils attendaient les navires-prisons de la course de la Kolyma...."
« Andrei Sakharov les a appelés les « navires de la mort de la mer d'Okhotsk »
"Ceux qui sont arrivés étaient déjà des restes d'êtres humains écrasés et humiliés, affamés et mal habillés. Ils auraient normalement dû passer environ trois mois en prison dans des conditions et un traitement jugés adéquats pour eux. Le voyage en train - toujours l'une des pires expériences des victimes, avec ses wagons fétides, son approvisionnement en eau insuffisant, son manque de nourriture et de lumière, ses gardes brutaux - était, bien sûr, le plus long subi par toutes les victimes du Goulag : 28 jours, 33 jours, 35 jours, 47 jours sont des durées typiques rapportées."
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Lettons dans des wagons à bestiaux envoyés dans les camps de concentration du Goulag dans l'URSS dirigée par les Juifs.
Le jour de l'embarquement arrive à Vanino :
"Lorsque nous sommes sortis sur l'immense terrain à l'extérieur du camp, j'ai assisté à un spectacle qui aurait fait honneur à une production de Cecil B. DeMille. A perte de vue, il y avait des colonnes de prisonniers marchant dans une direction ou une autre comme des armées sur un champ de bataille. Un énorme détachement d'agents de sécurité, de soldats et de préposés aux transmissions, équipés de téléphones de campagne et de motocyclettes, restait en contact avec le quartier général, organisant le bon déroulement de ces rivières humaines.
J'ai demandé à quoi était censée ressembler cette opération géante. La réponse fut qu'à chaque départ d'un convoi, l'administration remplaçait les occupants de chaque cage du camp de sorte que chacun devait être emmené avec son paquet de chiffons sur l'épaule vers le grand champ et de là dirigé vers sa nouvelle destination. Seuls 5 000 d'entre eux étaient censés partir, mais 100 000 faisaient partie de la scène qui se déroulait devant nous. On pouvait voir des colonnes interminables de femmes, d'infirmes, de vieillards et même d'adolescents, tous en formation militaire, cinq par rang, traversant l'immense champ, et dirigés par des sifflets ou des drapeaux. Il a fallu plus de trois heures avant que l'opération ne soit terminée et que le groupe auquel j'appartenais soit autorisé à partir pour le point d'embarquement.
Je me souviens du port de Vanino
où se trouvait le bateau à vapeur à l'air sinistre,
Comment nous avons grimpé sur la passerelle à bord
Jusqu'à la cale froide et lugubre
« Il nous a fallu un certain temps pour habituer nos yeux à la faible lumière du pont inférieur terne. Alors que je commençais à voir où nous étions, mes yeux virent une scène que ni Goya ni Gustave Dore n'auraient pu imaginer. Dans cette immense cale caverneuse et trouble, s'entassaient plus de 2 000 femmes. Du sol au plafond, comme dans une gigantesque ferme avicole, elles étaient enfermés dans des cages ouvertes, cinq d'entre elles dans un espace de neuf pieds carrés. Le sol était couvert de plus de femmes. A cause de la chaleur et de l'humidité, la plupart d'entre elles n'étaient que peu vêtues ; Certaines étaient même complètement nues. Le manque de sanitaires et la chaleur incessante avaient couvert leurs corps d'horribles tâches rouges, de furoncles et de cloques. La majorité d'entre elles souffraient d'une forme ou d'une autre de maladie de peau, en plus de maux d'estomac et de dysenterie.
Au bas de l'escalier que nous venions de descendre se trouvait un tonneau géant, sur les bords duquel, à la vue des soldats qui montaient la garde au-dessus, des femmes étaient perchées comme des oiseaux, et dans les positions les plus incroyables. Aucune honte, aucune pudeur, elles étaient accroupies là pour uriner ou vider leurs intestins. On avait l'impression qu'il s'agissait de créatures mi-humaines, mi-oiseaux qui appartenaient à un autre monde et à un autre âge."
De nombreux prisonniers n'ont pas survécu à la traversée [qui durait généralement une semaine entière], ils sont morts de violence, de faim et de maladies après avoir été entassés littéralement, dans de nombreux cas, côte à côte, comme des biens meubles dans des cales sales pendant des semaines. La scène était identique à celle des navires négriers appartenant à des Juifs et remplis de milliers d'esclaves africains, littéralement dos à dos, au cours des siècles précédents. Cette fois-ci, il s'agissait de nouveaux esclaves goyim (non-juifs) destinés à servir de main-d'œuvre pour l'État communiste juif.
Les champs d'exécution de Kolyma
« L'objectif principal était de tuer les prisonniers, comme l'a dit ouvertement un commandant. »
Ma note* la principale méthode pour assassiner les prisonniers par millions était de leur attribuer des quotas de production impossibles, puis de baisser les rations déjà de famine lorsqu'ils ne pouvaient pas les satisfaire en guise de punition, s'assurant qu'ils mourraient d'un mélange d'épuisement et de maladies. Ceux qui vivaient mais étaient trop affaiblis, leurs quotas tombèrent de faim et d'épuisement, et ils furent simplement exécutés en masse.
Ma note* la principale méthode pour assassiner les prisonniers par millions était de leur attribuer des quotas de production impossibles, puis de baisser les rations déjà de famine lorsqu'ils ne pouvaient pas les satisfaire en guise de punition, s'assurant qu'ils mourraient d'un mélange d'épuisement et de maladies. Ceux qui vivaient mais étaient trop affaiblis, tombèrent de faim et d'épuisement, et ils furent simplement exécutés en masse.
Cela a permis d'extraire l'or tout en tuant les prisonniers. Le sadisme de cette méthode était que la victime travaillait aussi dur que possible pour rester en vie dans un faux espoir, assurant ainsi une plus grande quantité de production d'or. Dans le cadre de cela, ils recevaient les vêtements les plus mauvais et les moins chers, qui ne valaient rien par un froid de 50 à 70 degrés sous zéro, et n'avaient que des chiffons sales et pleins de poux pour envelopper leurs pieds et leurs corps gelés. On les laissait vivre empilés les uns sur les autres comme des animaux d'élevage industriel dans des cages, dans des huttes bon marché de mauvaise qualité, sans isolation ni chauffage adéquat, dans la région la plus froide du monde.
Cela permettait d'extraire l'or tout en tuant les prisonniers. Le sadisme de cette méthode consistait à faire travailler la victime aussi dur que possible pour rester en vie dans un faux espoir, assurant ainsi une plus grande quantité de production d'or. Dans le cadre de cette méthode, ils recevaient les vêtements les plus mauvais et les moins chers, qui ne valaient rien par un froid de 50 à 70 degrés sous zéro, et n'avaient que des chiffons sales et pleins de poux pour envelopper leurs pieds et leurs corps gelés. On les laissait vivre empilés les uns sur les autres comme des animaux d'élevage industriel dans des cages, dans des huttes bon marché de mauvaise qualité, sans isolation ni chauffage adéquat, dans la région la plus froide du monde.
Plus de trois millions de personnes ont été systématiquement assassinées par le régime communiste juif dans la seule Kolyma, qui n'était qu'un camp parmi tant d'autres dans toute la République soviétique. Chacun des récits n'est pas seulement celui de l'individu qui le donne, mais l'expérience collective des millions de personnes condamnées dans ces camps.
La réalité des camps :
« Le climat à l'intérieur, où ça peut descendre jusqu'à -70 °C, est en effet le plus froid de l'hémisphère nord : le véritable pôle du froid est à Oymyakon, juste au-dessus du Gydan. »
« À l'été 1932, l'opération fut lancée. L'assaut de la collectivisation contre la paysannerie avait produit une vaste vague d'arrestations. Sur les 10 millions de "Koulaks" [ma note est plus proche de 15 millions] éliminés, la moitié est probablement morte dans la famine et par exécution, et sur le reste, certainement pas moins de trois millions et demi se sont déversés dans les camps de prisonniers. La Kolyma a eu sa part."
"Les baraquements ou cabanes dans lesquels les prisonniers passaient leur temps libre n'étaient pas non plus un grand refuge. Désespérément surpeuplées, avec des couchettes de trois ou quatre places, elles étaient souvent très mal isolées (les baraques des gardes avaient de la sciure entre deux couches de planches). Et, mal construites comme ils étaient, les fissures et les trous étaient généralement remplis de mousse, de chiffons ou de paille. De plus, presque tous les mineurs étaient affligés d'incontinence urinaire. Ils essayaient, lorsqu'ils étaient envoyés dans d'autres camps, d'obtenir les couchettes inférieures, afin d'épargner leurs collègues. Là où ils étaient tous ensemble, ce n'était pas possible."
"Les poêles aussi étaient tout à fait inadaptés. C'était une plainte constante que" les casernes n'étaient pas assez chauffées, les vêtements ne se séchaient pas. À l'automne, ils gardaient les gens trempés jusqu'aux os, dehors sous la pluie et dans le froid pour tenir des quotas que de telles épaves sans espoir ne pourraient jamais remplir... Les prisonniers n'étaient pas habillés pour le climat de la région de Kolyma.
On leur donnait des vêtements de troisième main, de simples chiffons, et souvent ils n'avaient qu'une enveloppe de tissu aux pieds. Leurs vestes déchirées ne les protégeaient pas du froid glacial, et les gens gelaient en masse.
Nous avons noté les règlements d'un vice révélateur, qui, à partir de 1937, interdisaient pratiquement les vêtements adéquats au climat."
"Une douzaine de poux dans les sous-vêtements d'une personne ne comptent pas. Les poux commencent à attirer l'attention des prisonniers et des médecins quand on peut les secouer d'un mouvement de la main, quand un pull-over commence à se déplacer tout seul. Est-il possible qu'un homme, quel qu'il soit, ne souhaite pas échapper à cette torture lorsqu'il ne dort pas et qu'il gratte son corps sale, rongé par la vermine, jusqu'à ce que le sang coule ?"
"Quand il était devenu clairement impossible de s'épouiller, les femmes renonçaient à essayer, et seulement lorsque les démangeaisons devenaient intolérables, elles passaient leurs mains sous leurs chemisiers, " récupéraient une poignée de vermine et les jetaient ".
Un prisonnier écrit :
En mars 1933, 600 prisonniers ont été envoyés à la Mine d'Or n°1 de l'Administration des Mines du Nord… il y avait deux autres administrations du même genre, celles de l'Ouest et du Sud. Nous partons à pied pour ce long voyage. Nous avons dû parcourir 370 miles (env 575 km) dans la neige profonde et par temps terriblement froid jusqu'à la sopka de Khatenakh.
Nous devions faire 16 miles par jour (env 25 km), après quoi nous avons passé la nuit dans des tentes installées sur la neige. Après avoir mangé nos maigres rations du matin, nous repartîmes. Ceux qui n'ont pas pu survivre à cette longue marche épuisante et sont morts en chemin, se sont retrouvés avec la neige pour seul tombeau. Nos gardiens nous ont interdit de leur donner un enterrement convenable. Ceux qui traînaient étaient fusillés par les gardes, sans arrêter la colonne.
« J'étais convaincu que les soldats du MVD [gardiens du camp] devaient être choisis pour leur sadisme. Ils avaient les mains complètement libres sur nous et faisaient n'importe quoi, surtout ivres, pour faire souffrir les prisonniers. Par exemple, en allant à ou revenant du travail dans les colonnes habituelles de cinq, ils nous arrêtaient parfois au milieu de la route, lâchaient leurs chiens et riaient à tue-tête tandis que les chiens enfonçaient leurs crocs dans les jambes des prisonniers. absolument libres de faire n'importe quoi, même de nous tuer - et d'obtenir une avance pour cela. Je les ai vus appeler un homme pour qu'il fasse du feu pour eux ou leur apporte une chope d'eau lorsqu'ils étaient de garde, puis tuer le malheureux sous prétexte que le prisonnier avait franchi la ligne d'interdiction d'accès."
Les conditions de travail :
Les bottes étaient toujours mouillées, jamais tout à fait sèches – les rhumatismes étaient garantis. Ensuite, l'air de la fosse, où il n'y avait aucune ventilation, était rempli deux fois par jour des vapeurs toxiques de l'ammonal dynamité. Trente minutes seulement étaient allouées pour l'évacuation des fumées par l'entrée de la mine, après quoi les ouvriers étaient reconduits dans les fosses pour continuer leur travail. Beaucoup d'entre eux succombèrent à l'atmosphère empoisonnée et toussèrent violemment, crachant du sang et souvent des fragments de poumon. Après un court laps de temps, ceux-ci étaient généralement envoyés soit aux escouades faibles pour le boisage, soit à leurs tombes. La mortalité était particulièrement élevée parmi les hommes qui charriaient le sable humide de la caserne après le lavage. De l'atmosphère humide et moite de la chaufferie, les pousseurs de brouette transpirants se glissaient par l'ouverture, qui était recouvert d'une vieille couverture, poussant leurs brouettes dans le gel perçant de moins 50 degré. La durée de ce travail était, au maximum, d'un mois, après quoi une pneumonie ou une méningite expédiait le travailleur dans l'autre monde.